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  • : Les aventures érotiques de Sir Orso : un libertin parisien raconte
  • : Au travers ce blog je souhaite partager les récits de mes aventures avec le plus grand nombre. Vos commentaires, que j'espère constructifs, me permettront d'améliorer la qualité de mes récits qui sont authentiques.
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13 octobre 2006 5 13 /10 /octobre /2006 16:36
Un vendredi soir j’avais invité Sandrine et Damien un couple que je connais depuis maintenant huit ans.

Ils sont arrivés vers 21 h 20.

J'avais eu le temps de préparer le repas : dinde en sauce à base de vin blanc, eau, moutarde à l'ancienne et crème de cassis.

Original et étonnant.

Accompagné de champignons et de riz.

En plus du fromage et comme dessert les coupelles mousse de fraises et quelques cannelés qu’une demoisell invitée la veille m’avait apportés.

 

A la fin du repas comme je pensais que les choses allaient en rester là j'ai sorti de sa cachette un objet que j'avais reçu le jour même (encore un de mes achats Ebay) une aiguille à lacer les corsets. J’ai demandé à mes invités s’ils avaient une idée de ce que c’était. Devant l’originalité de l’objet ils ont rapidement donné leur langue au chat.

 

Dommage que je n'aie pu la montrer à mon invitée la veille.

 

Et donc de l'aiguille nous sommes la conversation est passée aux corsets et même si je savais que ce n'est pas le style de Sandrine (elle fait très femme enfant) je lui ai proposé d'essayer une des pièces de ma collection, au choix. Elle était un peu réticente mais les yeux brillants de Damien et mon amicale insistance l’ont convaincu de se laisser faire. Elle en a examiné plusieurs mais de peur de se sentir trop oppressée, son choix s'est porté sur un corset souple de couleur violette en 22 pouces et s’arrêtant sous les seins.

 

Damien et moi l’avons débarrassée de son tailleur pantalon de couleur bordeaux. Dessous elle portait un ensemble de lingerie blanche assez sage accompagné avec des bas opaques et des chaussures plates montantes. Le corset étant un modèle laissant la poitrine libre j’ai préféré, connaissant la sensibilité de Sandrine à ce genre de caresses, lui ôter son soutien gorge.

 

J’ai ensuite délacé le corset et l’ai aidée à le passer. Un 24 pouces lui aurait sûrement mieux convenu, le corset qu’elle avait choisi était en effet juste, très juste et d'autant plus difficile à fermer qu’il se lace par devant et par derrière et que les lacets fournis par la créatrice du corset sont particulièrement courts. Cependant après quelques ajustements j’ai finalement pu le lacer convenablement. Comme la culotte blanche jurait avec la couleur du corset elle est allée bien vite rejoindre le soutien gorge, Sandrine nous offrant ainsi le spectacle de sa toison couleur feu.

 

Restait le problème des chaussures. Comme les talons plats que portaient Sandrine n'étaient pas idéals pour accompagner le corset j'ai fouillé dans mon placard et finalement trouvé dans ma collection de chaussures une paire de bottines vernies, noires assez hallucinante, le talon approchant les 12 centimètres. Je le fis asseoir sur le lit et m’agenouillais à ses pieds pour les lui enfiler. Ainsi vêtue, les seins pointant fièrement au dessus du satin violet, elle était assez méconnaissable.

 

Pour lui montrer à quoi elle ressemblait ainsi vêtue j'ai du la guider par la main vers le salon dans lequel une grande glace surplombe la cheminée en marbre. Je sentais Sandrine à la fois intimidée et excitée. Je n’ai pas pu résister à l’envie de lui voler enfin deux photos à la va vite avec mon numérique. Elles sont mal cadrées, on ne voit pas les chaussures, mais elles permettront de garder une trace de cette soirée.

 

Nous sommes revenus ensuite dans la chambre et Damien a commencé à embrasser Sandrine et la caresser.

Elle s'est rapidement révélée complètement trempée.

 

Nous l'avons assise sur le lit et très vite elle s'est retrouvée allongée, le sexe de Damien en bouche et moi entre ses jambes en train d’alterner petits coups de langue et caresses manuelles. Sandrine était trempée. Je la sentais à la limite du plaisir mais malgré tout elle n'arrivait pas à se laisser aller comme si quelle chose la retenait.

Elle a d'ailleurs lâché, dans un sanglot :

- Je n’y arrive pas 

Et ceci malgré ma langue et mes doigts qui investissaient toutes les cavités.

 

J’étais d’autant plus frustré de ne pas la voir jouir que je n'avais encore jamais vu Sandrine dans cet état d'excitation.

 

Comprenant que je n’y arriverais pas ainsi je lui ai alors demandé de quoi elle avait envie.

D’une petite voix elle m'a laissé le choix et je lui ai dit que j'allais la manger.

J'ai remonté ses jambes, mis ses pieds en appui sur mes épaules et enfouis mon visage entre ses cuisses. Ma bouche l’a littéralement mangée, ma langue se faufilant partout, du clitoris jusqu’à son petit trou que mes doigts avaient investi.

 

Je pense qu'elle a finalement joui sous l’action conjuguée de ma langue, mes doigts mais comme elle était très occupée à sucer Damien nous ne l'avons pas entendue. Seuls les soubresauts de son corps l’ont trahie.

 

Elle m'a ensuite repoussé doucement en arrière et je me suis relevé. Je lui ai alors reposé la même question que quelques minutes auparavant :

- De quoi as tu envies?
- De te manger, m'a t'elle répondu avec un petit sourire.
 

Sandrine a joint le geste à la parole et, s’asseyant sur le lit, elle s’est emparée de mon sexe dressé. Elle commencé à me sucer alors que j'étais debout devant elle et elle assise sur le lit.

Mais comme Damien avait visiblement l'envie de prendre Sandrine en levrette nous avons tous changé de position. Je me suis assis sur le lit, dos contre le mur, Sandrine à genoux entre mes jambes me suçant avec délectation et offrant ses fesses à Damien qui l’a prise ainsi.

 

Les lèvres de Sandrine sont parmi les plus douces que j’ai connues. La sensation sur mon sexe était extraordinaire ! Sensation accentuée par ses mains jouant avec les autres parties sensibles de mon individu. Pour que Damien puisse profiter du spectacle de la bouche se sa femme sur mon sexe je relevais régulièrement les cheveux blonds de Sandrine.

 

A chaque coup de boutoir de Damien je sentais Sandrine m’avaler un peu plus. Damien n'a d’ailleurs pas résisté longtemps au spectacle que nos trois corps lui offraient et il s'est laissé aller entre les reins de Sandrine.

 

Pendant que Damien reprenait son souffle et ses esprits j'ai demandé une dernière fois à Sandrine ce qu'elle souhaitait

Elle ne m'a pas répondu, a souri et m'a aspiré avec encore plus de gourmandise.

Je lui dit que je ne résisterai pas longtemps à ce genre de traitement et que j’allais jouir dans sa bouche si elle continuait, elle a alors levé la tête vers moi et a dit :

- J'adore te le faire...., en insistant sur le TE
 

Comment voulez vous résister à cela?

 

J'ai joui quelques instants plus tard entre ses lèvres et tout le temps de ma jouissance elle a joué avec mon sexe à petits coups de langue prolongeant ainsi mon plaisir presque jusqu’à la douleur.

 

Comme il était déjà assez tard et qu'ils avaient beaucoup de route à faire pour rentrer ils m'ont quitté assez vite après une toilette succincte.

De mon côté j'ai eu un peu de mal à m'endormir ensuite dans les draps encore froissés de nos ébats.

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20 juillet 2006 4 20 /07 /juillet /2006 12:55

Le premier texte que j'illustrerai surement.

C'est le récit d'un nouveau trio, plus récent, plus hard, plus extrême que le précédent.

Presque 10 ans se sont écoulés entre temps......

Il vous faudra un peu de patience avant de découvrir les images de cette folle journée. Le temps pour moi de les mettre en forme et de choisir. Si vous ne pouvez pas tenir allez voir leur site :

http://exhibmarie.site.voila.fr/

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20 juillet 2006 4 20 /07 /juillet /2006 12:54
J’avais rencontré Damien il y a maintenant quelques années par l’intermédiaire d’Internet. Il était alors marié et m’avait demandé d’être son complice pour l’initiation de sa femme à quelques jeux coquins sans que cela n’aboutisse jamais.
 
Aussi ne fus je donc pas très surpris quand Damien me laissa entendre qu’il avait entamé une discussion assez poussée avec une de ses collègues de travail, discussion dont le thème était : le sexe et les rapports de soumission.
 
Cette discussion débouchant bien vite sur une relation plus physique bien que cachée – les tourteraux travaillant dans une entreprise très connue et très sérieuse – qui semblait leur faire tourner la tête.
 
Les présentations eurent lieu dans un restaurant à côté des Champs Elysées. Damien et Marie m’attendaient et m’avaient laissé une place face à Marie. Physiquement si vous imaginez Sabine Azéma dans sa période cheveux courts, vous aurez une idée assez exacte de ce à quoi ressemble Marie. Avec toutefois une différence notable : des yeux très bleus que ne possède pas l’actrice chère à Alain Resnais. Le repas fut agréable mais très sage, Marie portait un joli tailleur avec une jupe courte, des chaussures noires à talon et de superbes bas en dentelles. Sa silhouette très fine et son visage lisse lui permettaient en effet de paraître dix ans de moins et la différence entre Damien et elle n’était pas des plus flagrantes. Nous avons discuté de façon assez discrète de façon à ne pas être entendus par nos voisins et nous sommes quittés sur la promesse de nous revoir pour un autre déjeuner. Entre les deux rencontres Damien me racontait brièvement leurs premières expéditions dans des boites SM, leurs jeux… Marie semblait aimer les sensations extrêmes et Damien devait s’employer pour lui trouver chaque fois des jeux nouveaux.
 
Nous avons à nouveau déjeuné ensemble quelques semaines plus tard et la conversation fut beaucoup plus libre. Entre temps j’avais acheté à Marie un superbe serre taille gris devant lequel j’étais tombé en arrêt. C’était une petite taille et je pensais qu’il conviendrait très bien à Marie. Elle fut ravie du cadeau que je lui remis au moment de nous séparer et elle s’engagea à le porter lors de notre prochaine rencontre. Pour ma part je lui ai promis de lui envoyer certains de mes textes pour qu’elle note ses remarques et corrections.
 
Nous nous sommes quittés sur cette promesse et, même si cela n’était pas été dis, je savais que Damien me demanderait un jour de participer à leurs jeux. Je savais qu’il avait beaucoup de projets pour Marie comme des sorties en club, des rencontres avec d’autres couples tant elle semblait désireuse de rattraper le temps perdu avec des amants ne la satisfaisant pas. Elle avait par exemple avoué à Damien qu’un de ses fantasmes aurait été d’être prise devant ses anciens amants pour leur montrer comment il fallait s’occuper d’elle, chose qu’eux n’avaient pas été capable de faire.
 
Damien et moi sommes restés en contact et à chaque repas que nous faisions tous les deux, à chaque coup de téléphone il me racontait les « progrès » de Marie. Il me narrait dans le détail leurs sorties en club, leurs jeux, comment il lui arrivait de la prendre sous des portes cochères… Mais deux situations le faisaient particulièrement fantasmer : voir Marie prise par une autre femme à l’aide d’un gode ceinture et surtout faire connaître à Marie les sensations de la double pénétration.
Ce deuxième cas de figure était relativement simple à organiser car il était clair pour Damien que je serais son complice pour cette aventure. Il ne restait plus à trouver qu’une date convenant à chacun d’entres nous pour ce petit jeu.
 
Nous sommes finalement tombés d’accord sur un jour de semaine au mois de janvier. Damien avait réussi à se faire prêter un appartement à Boulogne et m’avait donné rendez vous là bas en fin de matinée. En prévision de cette journée j’avais placé dans le coffre de ma voiture un grand sac contenant un pantalon de cuir, des liens, un gode que je pensais laisser à Marie, des corsets et bien sur mon appareil photo.
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20 juillet 2006 4 20 /07 /juillet /2006 12:51
 
Le jour dit il faisait un temps superbe et la température était plus celle d’un mois de septembre que d’un mois de janvier. Seules l’absence de feuilles sur les branches des arbres confirmait que nous étions en hiver.
 
Je téléphonais à Damien pour qu’il vienne me retrouver à l’entrée de la résidence laissant ainsi à Marie le temps de se préparer.
Damien lança un regard surpris à mon sac. Je crois qu’il ne s’attendait pas à ce qu’il fût si grand ! Pourtant il le fallait pour contenir la longue cravache que j’avais achetée quelques jours auparavant en prévision de cette journée. Le sac contenait également plusieurs corsets car Marie avait émis, lors d’une de nos rencontres, le souhait d’en essayer. J’avais fais un choix parmi ma collection et sélectionné ceux qui étaient le plus susceptible de lui convenir.
 
Nous prîmes l’ascenseur jusqu’au cinquième étage et Damien ouvrit la porte de l’appartement qui lui avait été prêté. C’était un deux pièces avec de larges baies vitrées permettant d’apercevoir la Seine au loin. Le soleil de janvier pénétrait à flots dans l’appartement. Je posais mon sac dans un coin de l’entrée et pendant que je me changeais dans le salon Damien alla rejoindre Marie qui attendait dans la chambre.
 
Je troquais mon costume contre un pantalon en cuir noir et un tee-shirt noir frappé d’une étoile rouge. J’avais enfilé une paire de chaussures montantes également noires. Une fois prêt je rejoignis Damien pour découvrir Marie qui attendait sagement assise sur le lit uniquement vêtue du serre taille gris que je lui avais offert, d’un petit string, d’une paire de bas et de chaussures à talons.
 
Je la découvrais ainsi presque nue sans aucune transition alors que jusqu’à maintenant nos rapports avaient été assez formels. Il en ressortait une situation assez étrange, due en grande partie à cette brillante lumière qui ne lui permettait pas de profiter d’une pénombre complice pour s’abriter un peu. Cette pénombre que l’on associe habituellement aux jeux de domination et de soumission et qui nous était refusée ce jour là donnant à ces jeux une ambiance un peu en décalage avec mes expériences précédentes. Marie semblait également assez nerveuse, du moins c’est le souvenir que j’en ai gardé, aussi ai-je proposé à mes partenaires de commencer par quelques photos car je savais que Damien voulait conserver une trace de cette journée.
 
Nous sommes passé dans le salon où nous avons dégagé un espace le long d’un mur pour n’y laisser qu’un fauteuil recouvert d’un tissu rouge dans lequel Marie a pris place. Je fis quelques clichés de la compagne de Damien, lui demandant de se tourner, de se mettre à genoux, de se pencher en avant pour faire saillir ses fesses etc. Son corps mince avait conservé une allure juvénile et pas plus que son visage ne donnait une idée de son age réel.
 
Elle obéissait docilement à mes ordres. Au bout de quelques clichés Damien sembla trouver que mon modèle était encore trop vêtue et lui ordonna d’ôter son string. Marie s’exécuta. Elle était intégralement épilée conformément aux goûts de Damien, ses grandes lèvres, naturellement longues, me donnaient furieusement envie de les étirer encore.
 
Pour ajouter un peu de mise en scène à mes photos je m’emparais de la cravache qui dépassait de mon sac et demandais à Damien d’écarter les fesses de Marie à l’aide de cet instrument pendant que je me concentrais sur mon appareil photo… Damien se saisit de la cravache et ordonna à Marie de s’agenouiller sur le fauteuil.
 
Il décida de se servir tout d’abord de la cravache pour caresser le sexe de sa compagne. Il frottait sans ménagement les chairs sensibles alternativement avec le manche et avec l’extrémité de cuir. Au bout de quelques minutes de ce traitement, abandonnant la cravache, il s’approcha d’elle et posa la main sur le sexe de Marie qui eut un frémissement. Il enfonça deux doigts dans son vagin puis me fit signe de le rejoindre. Il m’invita du geste à vérifier à mon tour combien Marie était trempée. Elle était en effet déjà très excitée. Je me retirais et Damien décida de la masturber vigoureusement ce qui eut pour effet quasi immédiat de provoquer des soubresauts dans le corps de notre modèle.
 
Damien alternait maintenant caresses manuelles et petites claques de plus en plus appuyés sur les fesses offertes. La peau de Marie commençait à marquer et ses gémissements devenaient de plus en plus sonores accompagnant tous les changements de rythme de Damien. Marie se cambrait à chaque fois davantage offrant ses fesses à la morsure du cuir. Lorsqu’il jugeait qu’elle avait assez goûté de la cravache Damien s’approchait d’elle et caressait son sexe. Aux reflets de la lumière sur ses doigts quand il les retirait je me rendais compte combien Marie ruisselait. Lors d’une conversation Damien l’avait qualifiée de femme fontaine et je pensais alors qu’il ne s’était pas trompé. La cravache a succédé aux caresses jusqu’au moment où je décidai de corser un peu le jeu. Je m’emparais d’un gode et d’un tube de lubrifiant que j’avais apporté et, après avoir lubrifié le plug, je le fis pénétrer doucement, presque avec tendresse, dans l’anus de Marie. Ce plug spécialement étudié est censé ne pas être rejeté par la soumise à qui on l’impose. Cependant le conserver alors que l’on a les fesses exhibées et fessées tient de l’exploit. Exploit d’autant plus délicat que j’avais choisi une taille assez raisonnable susceptible d’être bien tolérée par une personne peu habituée. Cependant Marie semblait avoir une longue habitude de la sodomie et aurait peut être préféré un calibre plus conséquent. Nous imposâmes donc à Marie de conserver le plug dans ses fesses aussi longtemps que durerait le jeu. Autant vous le dire tout de suite elle n’y parvint pas. Elle ne put contrôler ses convulsions et éjecta le petit gode que nous lui avions inséré dans l’anus pendant que Damien masturbait son clitoris et faisait aller et venir le gode vaginal. Je ramassais le plug tombé sur le tapis et le remis en place non sans l’avoir montré à Damien.
 
Ayant constaté l’échec de Marie lors de l’épreuve mon acolyte décida de lui imposer cinq vrais coups de cravache qu’elle dut compter à haute voix. Lors du cinquième coup le « cinq » qu’elle prononça se transforma en gémissement preuve que les coups avaient été réellement portés. Ses fesses d’ailleurs en portaient une trace indéniable.
 
Ayant décidé qu’elle avait assez souffert Damien fit lever Marie et décida qu’il était temps qu’elle essaie l’un des corsets que j’avais apporté. Nous avons commencé par un corset rouge prenant la taille et les seins. Je lui ôtais donc son serre-taille gris pour le remplacer par le corset. Je lui demandais de tenir ses bas que je comptais fixer aux jarretelles dont ce corset était équipé. Je fermais le busc sur le devant, raccrochais les bas puis serrais progressivement le lien dans le dos. Je fis un premier serrage pour voir si elle supporterait d’avoir la taille un peu prise. Cela ne sembla pas lui poser de problème et je serrais donc un peu plus encore. Je nouais les liens puis m’écartais pour juger de l’effet. Le corset était peut être un peu grand pour elle mais il lui allait fort bien. Pour ajouter un peu de piquant nous décidâmes de lui bander les yeux à l’aide d’un bandeau noir que j’avais apporté avec moi.
 
Nous la fîmes tourner sur elle même pour l’admirer et Damien ordonna à Marie de s’agenouiller pour me remercier pour lui avoir apporté un si joli corset. Il amena son visage à hauteur de la braguette de mon pantalon jusqu’à ce qu’il touche le tissu. Marie, comprenant parfaitement ce que son maître attendait d’elle, fit glisser à tâtons ses mains le long de mes jambes, trouva la braguette et libéra mon sexe qu’elle prit doucement entre ses lèvres. Elle entama une lente fellation, elle à genoux et moi debout. Je la laissais faire un petit moment dans cette position jouant un peu avec elle, sortant mon sexe de sa bouche pour le promener sur son visage puis, l’amenant avec moi, je m’assis dans le fauteuil rouge dans lequel elle avait été cravachée quelques minutes plus tôt. Cette position lui permettait de m’engloutir presque entièrement et je ne me privais pas pour pousser mon sexe au fond de sa gorge.
 
La fellation était délicieuse mais je ne voulais pas jouir dans la bouche de Marie. Je la repoussais doucement pour pouvoir quitter mon siège, la relevais également et l’agenouillais dans la même position que ce lorsqu’elle avait reçu la cravache. Je caressais son sexe rasé et son clitoris qui avait conservé la taille d’un grain de grenade. Damien me regardait faire d’un air intéressé. Sans cesser mes caresses je m’emparais d’un préservatif que j’enfilais sur mon sexe dressé. Marie donnait des signes de plaisir de plus en plus manifestes et elle jouit sous mes caresse en lâchant un petit jet de liquide qui s’étala en une petite flaque ronde sur l’assise du fauteuil. Je la pénétrais alors sans préparation et elle m’accueillit avec un gémissement. Je fis quelques allées et venues dans son sexe puis sans plus de préparation je me retirai, posai mon gland sur l’anus de Marie et m’enfonçai sans lui laisser le temps de protester, non que je ne lui en eusse laissé le droit d’ailleurs.
 
Son cul était accueillant et je glissais sans problème en elle. Elle râlait doucement sous mes coups de butoir et n’y tenant plus je me laissais aller entre ses fesses. Me sentant jouir elle serra son anus pour me retenir et m’extirper jusqu’à la dernière goutte de mon plaisir.
 
Je me retirai finalement et allait faire une petite toilette.
 
Quand je revins Damien avait ôté le bandeau qui aveuglait Marie et lui désignait la tache sombre qui maculait le fauteuil.
-         C’est la deuxième fois aujourd’hui que tu t’oublies lui dit il doucement, faisant sans doute allusion a une jouissance antérieure à mon arrivée
-         Je ferai plus attention la prochaine fois
-         Mais tu mérites une punition et sévère qui plus est. Tu vas avoir droit aux pinces.
-         Ho non pas ça, souffla-t-elle avec une lueur de panique dans ses yeux bleus.
 
Damien lui immobilisa les mains dans le dos à l’aide de bracelets de cuir trouvés dans mon sac. Ces bracelets, munis de mousquetons, s’attachent très facilement l’un à l’autre et immobilisent sans blesser les chairs. Je me plaçais devant elle et relevais son visage vers moi pendant que Damien sortait d’un sac des pinces à linge en bois identiques à celles qu’utilisait ma grand mère pour étendre son linge. Un modèle classique, robuste et, je le savais pour m’en être souvent servi enfant, pinçant très fort les chairs.
 
-         Ainsi tu as peur des pinces, tu as peur d’avoir mal ? lui dis je, mais ce n’est rien, regarde !
 
J’ouvris alors ma chemise et demandant à Damien une pince à linge je la plaçais sur l’un de mes tétons sans aucune précaution. Marie écarquilla les yeux de surprise devant mon absence de réaction quand les mâchoires de bois pincèrent la chair. Il est vrai que je suis particulièrement dur à certains type de douleur et particulièrement à celle là. La cire brûlante me laisse n’est également pas une grande torture.
 
Alors que Marie avait les yeux fixé sur ma poitrine Damien lui banda à nouveau les yeux. Il posa ensuite une ou deux banderille sur chaque sein, autour des tétons, arrachant à Marie grimaces et gémissement de douleurs à chaque fois que les pinces saisissaient un morceau de peau. Nul besoin de la transformer en hérisson pour la voir se tordre de douleur et supplier qu’on les lui enlève. Au lieu de céder nous en avons au contraire ajouter dans le domaine de la mise en scène. Ayant été fouiller dans la cuisine et dans mon sac je suis revenu avec des glaçons et une courte chaîne métallique dont les extrémités se terminent par des mâchoires garnies de petits piquants de plastique dur. Je fis saillir les tétons en les frottant avec un des glaçons et une fois bien durs je plaçais délicatement les mâchoires en face des bouts rose vif et relâchais doucement la pression pour que le serrage soit progressif. Bien que légèrement anesthésiés par le froid je savais que la morsure du plastique sur les chairs fragiles allait être intense. Lorsque je lâchais le tout le poids de la chaîne entraîna les tétons vers le bas. Tout le corps de Marie sembla alors s’affaisser comme pour suivre le mouvement imprimé par la chaîne. Lorsque je m’emparais des maillons pour lui indiquer qu’elle devait se redresser je vis que ces yeux étaient embués de larmes. Je tirais doucement jusqu’à ce que son buste soit à nouveau droit puis lâchais à nouveau en lui donnant l’ordre de rester bien en place. Tout cela n’avait pas duré une minute mais je sentais presque la douleur irradier en cercles concentriques à partir des tétons. Il faut que je précise que je possède ces pinces depuis de nombreuses années et que je connais parfaitement leur capacité de nuisance ! Je me suis adressé à Marie :
 
-         Je vais les enlever et peut être que cela va être encore pire quand le sang va recommencer à circuler.
 
Je retirais les deux pinces d’un même mouvement arrachant une grimace de douleur à Marie. Les pics avaient laissé leur marque sur les tétons et même si elle avait l’air soulagée je savais que la douleur mordante ne quitterait totalement Marie que bien des minutes plus tard.
 
Les pinces toujours à la main je fis relever Marie et m’agenouillais à mon tour pour placer la chaîne entre les jambes de notre soumise. Quand je le redressais les pinces serraient la peau du sexe épilé de Marie et cette souffrance là semblait lui être bien plus supportable. Je décidais donc d’ajouter un peu de poids à celui des maillons. N’ayant rien avec moi pouvant remplir cet office je me tournais vers la bibliothèque et regardais parmi les livres ou les bibelots ce qui pouvaient être utilisé. Sur la dernière étagère j’avisais une jaquette dont le logo ne m’était pas inconnu. Il s’agissait assurément d’un roman érotique. Attrapant l’ouvrage je découvris la couverture avec un sourire : une jolie jeune femme costumée en nonne ne laissait rien ignorer de ses charmes. Photographie appropriée. De taille me semble-t-il. Je pris un autre livre à peu près du même format à côté du premier, j’ai oublié le titre de celui là. J’ordonnais à Marie d’écarter les jambes et plaçais les deux livres en équilibre sur la chaîne la photo de la nonne sur le dessus, pile sous le sexe de Marie. Je repris l’appareil photo pour immortaliser la scène. Marie avait ordre de ne pas bouger pour ne pas rompre le fragile équilibre sous peine de punition. Nous lui fîmes conserver la pause un petit moment mais rien ne tomba dois je dire presque à regret. Mais les photos sont bonnes. Ceci compensant cela.
 
Nous libérâmes Marie de ses pinces mais pas de ses bracelets. Je sentais Damien un peu mécontent de la prestation de Marie avec les pinces. Mais peut être était ce là un jeu ? Il la fit s’agenouiller et sans la prévenir cingla ses fesses et les épaules avec un martinet. Damien sanctionnait ainsi l’attitude de Marie devant les pinces. Mais peut être avait il compris que Marie avait assez souffert pour cette matinée car il n’insista pas trop. Juste quelques minutes de façon à obtenir une rougeur uniforme. Posant le martinet aussi vite qu’il l’avait saisi, Damien attrapa Marie par les cheveux et la fit avancer à quatre pattes jusqu’au fauteuil dans lequel il la fit monter, à genoux, les mains toujours attacher dans le dos. Ainsi positionnée il n’y avait guère d’ambiguïté quant à la suite des évènements. Damien se plaçant devant elle, présenta à hauteur de ses lèvres son sexe que Marie suça avec empressement. Je ne me souviens plus si Damien a joui dans sa bouche ou s’il a encore préféré patienter.
 
Quand Damien se retira il remplaça son sexe par une cravache qu’il demanda à Marie de tenir dans sa bouche pendant quelques minutes. Je sentis à ce moment là la fatigue poindre dans l’attitude de Marie qui se tenait moins droite et moins résolue.
 
Je sentais que nous avions besoin d’une pause car sinon nous allions commencer à réciter comme un catalogue des perversions. A mon instigation nous nous sommes donc interrompus pour aller déjeuner. Je sentais cependant que Damien était déçu et aurait préféré que le jeu se poursuive sans pause mais par expérience je savais combien et le plaisir physique et les demandes de soumission pouvaient être épuisante pour une soumise, surtout peu expérimentée comme Marie. Et malgré le risque de casser l’ambiance je pensais qu’il était préférable pour Marie de souffler un peu sous peine de la voir s’effondrer.
 
Marie s’est habillée, c’est à dire qu’elle a passé une jupe et une veste sur son corps nu, et je me suis changé, quittant mon habit de cuir pour le classique costume que je portais à mon arrivée. Damien s’est rhabillé et nous sommes parti à la recherche d’un endroit où nous restaurer.
 
Il y avait là quelque chose de surréaliste dans cette coupure durant laquelle, dans le petit restaurant de quartier dans lequel nous avons mangé, nous avons chacun repris nos rôles de cadres bon chic bon genre. Peut être notre conversation a t’elle malgré tout surpris nos voisins de table bien que nous évoquions à mots couverts les expériences que Damien et Marie vivaient de leur côté.
 
Cette pause nous fit semble t’il le plus grand bien et nous avons rejoint l’appartement de bonne humeur. Marie plaisantant durant le trajet comme s’il ne s’était rien passé de la matinée.
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20 juillet 2006 4 20 /07 /juillet /2006 12:49
 
La suite des événements allait cependant me donner raison.
 
Nous sommes revenus à l’appartement vers quatorze heures.
 
Nous avons continué la séance en faisant essayer à Marie un nouveau serre-taille, noir cette fois ci, et en lui bandant les yeux. Nous avons un peu joué avec la cravache, lui imposant de nous présenter avec déférence son instrument de torture.
 
Cependant, jugeant son attitude assez peu respectueuse, nous décidâmes de la punir un peu. Ses seins reçurent en parure les pinces qu’elle avait eu tant de mal à supporter le matin mais qu’elle parut accepter plus facilement. Puis Damien la fit s’agenouiller et lui présenta son sexe à sucer. Marie commença sa fellation à genoux devant son maître qui jouait avec elle, avançant son sexe devant la bouche, lui permettant parfois de le sucer goulûment, limitant parfois le contact du gland avec à sa seule langue. Il prit ensuite place dans le fauteuil rouge et, s’emparant de la tête de Marie, la guida sans ménagement, ralentissant ou accélérant le rythme de la fellation selon son désir. De temps en temps il jouait avec la chaîne, tirant sur les seins et arrachant quelques gémissements à sa fellatrice.
 
Au bout d’un moment de ce traitement Marie commençait à montrer des signes de lassitude et d’épuisement. Il me sembla que le moment était venu de lui donner enfin la juste récompense de sa totale soumission. J’ai demandé à Damien s’il était d’accord pour passer dans la chambre, ce qui sembla lui convenir. Je pris Marie par la main et demandait à Damien de s’allonger. J’intimais à Marie l’ordre de s’empaler sur le sexe de Damien et d’écarter ses fesses de ses mains. Elle était ainsi totalement à ma disposition et une fois que je sentis Damien bien calé en elle je m’enfonçais vigoureusement dans l’anus qui m’était offert. C’était pour Marie la première expérience de double pénétration et je pense, aux cris qu’elle poussait, que la sensation était très agréable pour elle.
 
Au début j’étais le seul à bouger puis progressivement Damien se mit au diapason. Doucement d’abord puis de plus en plus vite. Marie gémit très rapidement sous nos coups de butoir. Je crois pouvoir avancer que cette situation, nouvelle pour elle, lui plaisait au delà de ses espérances. La position n’était cependant pas évidente à tenir du fait de la mollesse du matelas et au bout de quelques minutes Damien me demanda d’inverser les rôles. Je me retrouvais donc sous Marie, mon sexe dans le sien, ses tétons déjà bien travaillés à portée de ma bouche tandis que Damien enculait Marie à son tour. Je ne me privais pas de mordre les bouts roses que Marie avait si sensibles lui arrachant à chaque fois un gémissement de douleur qui se mêlait à ceux de plaisir que nos pénétrations provoquaient.
 
Damien se libéra d’un coup. Je le sentis attraper vigoureusement les fesses de Marie et s’enfoncer d’un mouvement de rein violent tout au fond des fesses de sa soumises qui sembla s’ouvrir encore plus. Damien resta quelques instants encore au fond des reins de sa soumise puis se dégagea pour faire une petite toilette me laissant le champ libre pour les dernières minutes.
 
Je glissais mes mains sous les fesses de Marie et la soulevais légèrement de façon à donner plus d’amplitude à mes coups de reins. Je commençais par de lents mouvements qui firent soupirer Marie puis, au fur et à mesure que mes mouvements prenaient de l’amplitude et de la force, mon bassin venant cogner sans douceur contre le sien, ses soupirs se transformèrent en cris. Et les cris en hurlements de plaisir alors que je la pilonnais sans aucun ménagement. Je ne sais depuis combien de temps elle criait quand j’ai joui à mon tour.
 
Nous avons repris notre souffle allongé sur le lit tandis que Damien regardait Marie un petit sourire au coin des lèvres. Marie nous a alors avoué qu’elle était épuisée et incapable de se lever et quand elle se sera un peu reposée elle ira directement sous la douche.
 
Je suis allé me rhabiller et j’ai fait une dernière photo de Marie allongée les bras en croix sur le lit puis me suis éclipsé. Dehors le soleil était bas mais il faisait encore jour.
 
Je ne devais plus revoir Marie pendant un an et demi après cet épisode qui restera un grand souvenir de par l’intensité de plaisir pris par notre partenaire.
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26 mai 2006 5 26 /05 /mai /2006 10:42

Une histoire un peu ancienne, 4 ans déjà, dans laquelle il est question d'une professionnelle.

Mais là encore il ne s'agit pas d'une banale rencontre suite à une petite annonce.

Plutôt de retrouvailles.

Jugez plutôt.

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26 mai 2006 5 26 /05 /mai /2006 10:41
Isabelle
Mars 2002
 
 
Mettons d’abord les choses au point.
Isabelle n’est pas son vrai prénom.
Quel est-il ?
Peu importe mais je le connais.
Comme je connais d’elle quelques petites choses qui me la rendent à la fois plus proche et plus mystérieuse.
 
J’ai rencontré Isabelle pour la première fois en septembre 2001.
Elle travaillait alors pour un grand cabinet d’avocats parisien dans lequel j’effectuais une mission.
Je n’ai jamais su exactement quel était son poste mais je sais qu’elle avait accès à pas mal d’informations sensibles qui rendaient sa position stratégique.
Je suppose que depuis elle continue d’être une sorte d’assistante de luxe dans de très grandes sociétés.
 
A cette époque Isabelle et moi avions pris quelques verres ensemble dans un petit café et nous avions longuement parlé de son goût pour la lingerie. Elle m’avait d’ailleurs fourni une splendide guêpière de couleur bronze, commandée aux USA, que j’ai offerte à ma compagne. Nous avions aussi évoqué son amour des talons hauts et nous avions flâné devant les vitrines d’un magasin d’une galerie des Champs Elysées qui présentait les créations délirantes d’une marque italienne.
 
Elle était même venue nous apporter la guêpière chez nous et j’avoue que j’avais espéré que la soirée ne dégénère en quelque chose d’un peu plus coquin. Malheureusement ce soir là ma femme était épuisée par une longue journée de réunion et n’aspirait qu’à se coucher tôt.
 
Après cette soirée et à la fin de ma mission, Isabelle m’avait laissé son mail professionnel. Nous avons correspondu quelques temps à un rythme irrégulier. Parfois nous échangions plusieurs messages par jours et parfois rien pendant une semaine.
 
Et puis un jour son mail est resté muet. Son compte a été supprimé peu de temps après et j’ai perdu sa trace. Pas complètement en fait car j’avais conservé son mail personnel ainsi que son numéro de portable mais je ne sais trop pourquoi je ne l’ai jamais contactée.
 
Quelques mois plus tard, Olivier dont j’ai déjà pas mal parlé et avec qui j’avais passé plusieurs soirées coquines, m’a adressé une liste de liens vers des sites qui, selon lui, devaient m’intéresser. Il y avait là quelques sites amateurs, des sites consacrés à la photo, des sites de modèles et de quelques demoiselles vendant ouvertement leurs charmes dans le relatif anonymat de la grande toile.
 
J’en ai visité certains, écartant ceux ouvertement commerciaux pour me consacrer à ceux hébergés gratuitement par les providers. Par expérience je savais que c’était en général ceux là qui présentaient les choses les plus intéressantes. Et bien sûr au milieu de la liste se trouvait celui de Isabelle…
 
J’ai dû faire une drôle de tête car je ne m’attendais pas à trouver celle que je connaissais sous une autre identité en train de proposer ses services de masseuse et d’escort-girl sur Internet. Vous vous demandez sans doutes comment j’ai pu la reconnaître ? C’est fort simple : contrairement à la plupart de ses consœurs elle n’avait pas masqué son visage et apparaissait en photo telle que je l’avais connue quelques mois plus tôt. Je savais qu’elle avait posé pour des photos, elle me l’avait dit à l’époque mais de là à s’exposer ainsi… De plus elle ne cachait pas son âge dans un métier où apparemment beaucoup de filles se rajeunissaient.
 
J’avoue avoir pas mal tergiversé. Que faire ? L’appeler ? Rester dans l’ombre ? J’ai hésité longtemps, je me suis renseigné sur elle et sur le milieu en surfant sur de nombreux sites consacrés aux escorts. Même si cela me paraissait assez évident en découvrant ses tarifs j’ai vite compris qu’elle faisait partie du gratin des escort-girls de luxe. Une soirée avec elle pouvait représenter le salaire mensuel que je recevais quelques années auparavant…
J’ai cependant fini par craquer.
 
Un vendredi soir où j’étais seul dans mon appartement en travaux j’ai appelé Isabelle sur son numéro « professionnel ». Il était aux environ de 19 heures. Elle a répondu tout de suite et nous avons entamé une bien étrange conversation.
 
-         Etes vous libre ce soir ?
-         Oui mais pour quelle prestation.
-         Je ne sais pas trop, j’hésite encore.
-         Voulez-vous que je vous rappelle mes tarifs ?
-         Non, ils sont sur le site, en fait pour être franc nous nous connaissons.
Silence
-         Ha bon et comment me connaissez-vous ?
Je lui cite alors le nom du cabinet d’avocat et son prénom.
-         Dites-m’en plus, je ne reconnais pas votre voix
-         Vous m’aviez fourni une guêpière dorée pour mon épouse
-         Pas dorée, répondit-elle moqueuse, bronze. Vous êtes M. X n’est ce pas ?
-         Oui tout à fait
 
Elle me demanda ensuite si j’étais réellement décidé à la rencontrer et si oui comment faire puisqu’elle connaissait l’existence de mon épouse.
Je lui dis que j’étais seul mais cela ne semblait pas lever ses réticences. Il fallut que je lui parle de nos expériences coquines pour qu’elle comprenne qu’en fait au-delà de la confiance que je pouvais lui accorder quant à sa discrétion elle pouvait m’accorder la même en retour. Et que si je l’avais trouvée très séduisante lors de notre première rencontre elle était maintenant l’incarnation d’une sorte de fantasme : celui de la prostituée de luxe.
 
Nous avons longuement discuté et au final elle m’a demandé ce qu’elle devait faire, venir ou pas. Je lui ai demandé de venir pour un massage et qu’après nous verrions.
 
Je lui ai donné l’adresse, le code d’accès de l’immeuble et elle m’a dit qu’elle serait là dans une heure et demi, le temps de manger et de se préparer.
 
Pour éviter de trop gamberger j’ai passé l’heure et demi-suivant à ranger un peu le chantier qu’était l’appartement, prendre une douche et laver la salle de bain.
 
Elle a sonné vers 22 heures.
Je l’ai attendue sur le pallier et elle est apparue presque inchangée par rapport à mes souvenirs. Elle portait un grand manteau blanc en lainage, un tailleur sombre et ce qui me semblait être un petit pull moulant. Elle était chaussée d’escarpins à talons aiguilles en cuir façon nubuck.
Elle portait deux grands sacs à l’effigie d’une célèbre marque de vêtements.
 
Je pris son manteau, lui fis visiter les quelques pièces en état et la conduisis vers le salon. Elle prit place dans le canapé tandis que je me posais dans mon vieux fauteuil club.
 
Pendant que j’allais chercher l’alcool qu’elle m’avait demandé et quelques friandises, elle avait sorti d’un des sacs une paire d’escarpins noirs aux talons délirants.
Elle me regarda en souriant :
-         Je me suis souvenu, tu vois !
-         J’aimerais autant que l’on continue à se vouvoyer comme avant lui dis-je.
-         Comme vous voudrez mais sachez qu’ils viennent de la boutique à côté des Champs, me répondit-elle en les enfilant.
 
Elle se mit debout pour faire admirer le galbe de sa jambe qui était, il faut bien l’avouer, à damner un saint.
 
-         Je ne peux pas marcher avec dans la rue, 13 centimètres de talon c’est un peu dangereux mais à l’intérieur cela prend une autre dimension n’est ce pas.
 
Je ne pouvais qu’acquiescer.
J’étais assez tendu et malgré le chauffage poussé à son maximum je n’arrivais pas à me réchauffer.
 
Isabelle faisait l’essentiel de la conversation en répondant aux quelques questions que je lui pose. En fait au moment où nous nous étions rencontrés, elle avait déjà mis un pied dans le monde de la prostitution mais n’en tirait que des revenus d’appoint. Elle avait conservé son statut de cadre pendant encore quelques temps puis depuis quelques semaines avait arrêté de travailler en entreprise.
 
Au bout de quelques temps et comme la conversation s’enlisait, elle me proposa de prendre une douche. Comme je lui répondis que j’en avais pris une en l’attendant, elle me proposa de passer dans la chambre pour qu’elle m’y masse ?
 
-         Avez-vous besoin de quelque chose ? Demandais-je, presque pour retarder l’échéance.
-         Non juste d’une ou deux grandes serviettes pour ne pas tâcher les draps avec l’huile.
 
Elle me montra alors le flacon dont elle s’était emparée : de l’huile sèche de chez Carita, de celle qui est utilisée dans les instituts de beauté de luxe.
 
Je défis rapidement le lit pour ne conserver que le matelas recouvert d’un drap et les oreillers. Je laissais deux petites lampes et quelques bougies allumées.
 
Elle me regardait m’affairer un petit sourire ironique aux lèvres.
-         Et maintenant tout nu me lança-t-elle d’un air espiègle
 
Si elle avait été assez réticente à venir me rejoindre du fait de nos anciennes relations professionnelles, elle semblait commencer à s’amuser franchement.
 
Je me pliais donc à son injonction et ma chemise, mon pantalon de cuir et mon caleçon atterrirent à mes pieds. J’étais nu devant elle quand elle commença à se dévêtir. Elle ôta sa veste et son petit pull sans manche pour découvrir une poitrine plus pleine que je ne l’avais supposé. Elle enleva sa jupe et se tint devant moi en bas noirs et ensemble de lingerie blanche et noire. Bien évidemment elle avait conservé ses escarpins aux talons vertigineux.
 
Elle me fit m’allonger sur le ventre et commença à s’occuper de moi dans cette tenue. Le premier contact avec ses mains me fit frissonner. Ce n’était pas le contact froid de l’huile car elle la réchauffait tout d’abord dans ses mains, mais peut être était ce le contact de ses deux mains inconnues qui, ajoutées à ma sensibilité naturelle, ne cessaient de me faire frissonner.
 
Elle commença par les épaules pendant un bref instant, peut être pour que je m’habitue à son contact, puis elle attaqua les jambes, cuisses et mollets. Isabelle riait maintenant ouvertement à chaque sursaut provoqué par ses caresses, en particulier dans le creux poplité. Elle jouait de ses doigts avec art et y prenait un plaisir évident. Elle continua ainsi un assez long moment. Tout d’un coup je ne sentis plus ses mains sur moi.
 
Je me retournais et la vis en train d’ôter son soutien gorge. Ses seins étaient ravissants. Pas très gros mais cependant plus que je ne me l’étais imaginé lors de nos premières rencontres. Les tétons étaient sombres et les aréoles plus larges que celles de ma compagne. Elle avait conservé son string.
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26 mai 2006 5 26 /05 /mai /2006 10:39
Elle me demanda de me remettre sur le ventre. Je m’exécutais.
Ses seins s’écrasèrent sur mon dos maintenant bien huilé. Elle entama un lent mouvement de rotation en commençant par mes épaules et en descendant doucement vers les fesses qu’elle écarta doucement pour promener les tétons durcis sur les parties la face interne des globes et des cuisses. Mes frissons s’accentuaient en même temps que ses tétons s’érigeaient.
 
Soudain je sentis sa main se faufiler entre mes jambes et ses doigts caresser les parties de peau sensible que ses seins ne pouvaient atteindre. Je sentis mon sexe commencer à durcir tandis que ses doigts agaçaient cet emplacement si sensible à la jonction des cuisses et des testicules. Pour prolonger la caresse je soulevais mes fesses l’invitant à glisser ses doigts jusqu’à mes couilles. Je fus récompensé par un effleurement très doux et une pesée plus franche encore de ses seins sur mes fesses.
 
Cette partie du massage prit fin aussi soudainement qu’elle avait commencée.
Plus de poids sur mes fesses, plus de main sur mon sexe.
Il était temps de me retourner.
Je levais la tête des oreillers dans lesquels je l’avais enfouie et lui lançais un regard interrogateur.
 
D’un mouvement de main accompagné d’un sourire elle m’indiqua qu’en effet je devais me retourner. Je le fis doucement, sans me presser.
 
Elle reprit son massage en commençant cette fois ci par les chevilles et les pieds. Elle n’avait pas repris d’huile et me massait du bout de doigts.
Comme j’étais enfin sur le dos, un peu remonté sur les oreillers je ne perdais pas une miette du spectacle malgré l’absence de miroirs.
Je la vis donc parfaitement s’accroupir à mes pieds, avancer son visage au-dessus de mes pieds et goulûment avaler un à un mes orteils.
C’était une sensation proprement incroyable. Elle s’occupait de mes doigts comme autant de sexes.
 
Inutile de dire combien ce traitement m’a rendu fou.
La raideur de mon sexe en témoignait.
 
Doucement elle se releva et m’enfourcha tout en continuant le massage de mes jambes.
Ses tétons étaient encore bien érigés.
 
Ses mains remontaient maintenant le long de mon ventre sans pourtant s’approcher de mon sexe. Elle frôlait mon ventre, mes flancs du bout de doigts puis soudainement accentuait la pression pour la relâcher aussitôt. Je frissonnais sans cesse. Et son sourire s’élargissait à chacun de mes sursauts.
 
Comme elle l’avait fait pour mes pieds elle approcha sa bouche de mes mains puis goba un à un tous les doigts de ma main gauche tout en me regardant droit dans les yeux. Je sentis mon sexe grossir encore.
Elle fit durer autant que possible le va et vient de sa bouche sur mon index pour finalement lui permettre de sortir très lentement de sa bouche. Une pure provocation car mon sexe attendait toujours la caresse de sa bouche.
 
Elle avait décidé de me faire languir.
Sa poitrine remplaça sa bouche comme instrument de torture. Elle fit lentement courir ses seins sur mes cuisses en prenant toujours soin d’éviter ma queue dressée. Elle plaça une jambe entre les miennes et se pencha vers moi en frottant doucement la dentelle de la culotte sur ma cuisse.
 
-         Tu n’enlèves pas ton string ? Lui demandais-je ?
-         Tiens, tu me tutoies maintenant ? Répondit elle en riant. C’est incroyable que ce les hommes peuvent être timides, reprit-elle, on dirait qu’ils ne veulent pas toucher ce qui est à eux. Enlève la moi si tu veux, me provoqua-t-elle.
 
Je la relevais un peu et fis glisser mes doigts sous les élastiques du string. Je caressais délicatement la peau douce et soigneusement épilée arrachant à mon tour des frissons à Isabelle. Je tirais doucement la dentelle et au prix de quelques contorsions Isabelle me rejoignit dans ma nudité.
 
Son sexe était épilé quasi intégralement à l’exception d’une mince bande sur le pubis. Je caressais ses fesses et glissais mes doigts délicatement entre les deux globes jusqu’à son sexe que je trouvais déjà très humide. A ma grande surprise je l’avoue. En fait j’avais l’impression d’être plus avec une maîtresse qu’avec une professionnelle du sexe. En tout cas à part le plaisir qu’elle prenait à me faire attendre et qu’une amante n’aurait peut être pas laissé durer aussi longtemps je ne voyais pas la différence. D’autant que je n’avais encore rien payé… A la réflexion et pour avoir évoqué par la suite avec elle la question de son plaisir, je pense que cette situation inédite où une connaissance de son autre vie lui demandait de traverser le miroir devait l’exciter autant que moi. Car en plus du sexe s’y ajoutait un petit côté sulfureux qui ne devait pas lui déplaire.
 
Je la caressais donc légèrement pour apprendre à me familiariser un peu avec ce sexe presque adolescent par sa taille et sa douceur.
 
Elle profita de mon inquisition pour se pencher un peu plus su ma poitrine et me mordiller un téton et alors que je ne suis pas, en général, très porté sur ces caresses, je réagis instantanément. Je la laissais faire la soutenant d’une main sous le ventre tandis que l’autre fouillait son sexe de plus en plus ruisselant.
 
J’avais atteint cet état où l’érection est synonyme de douleur et où malgré mon excitation je ne pouvais bander d’avantage.
 
Emporté par mon élan mes deux mains quittèrent son corps pour attraper son visage que j’amenais au contact du mien. Nos lèvres se joignirent et nous échangeâmes un long baiser au goût de cigarettes et d’alcool. Je caressais ses longs cheveux bouclés et serrais son corps contre le mien comme avec n’importe quelle autre femme. Isabelle faisait voler en éclats pas mal d’images d’Epinal sur les courtisanes.
 
Nous avons rompu notre baiser et Isabelle s’est doucement relevé sur les coudes pour incliner son visage vers mon torse. Elle reprit ses mordillements là où notre baiser les avaient interrompus puis doucement sa bouche descendit vers mon sexe, sa langue s’attardant temporairement sur une partie de mon anatomie. Elle finit par atteindre mon sexe érigé à qui elle donna quelques coups de langue. Elle embrassa le gland puis continua sa descente vers mes couilles en suivant du bout de la langue la grosse veine bleue qui pulsait sous l’afflux de sang.
 
Quittant sa position à califourchon elle se plaça plus confortablement entre mes jambes et tout en empoignant enfin mon sexe elle goba une de mes couilles et la suça doucement. Dans le même temps sa main faisait connaissance avec mon sexe dont elle évaluait la taille et la fermeté comme je l’avais fait avec son sexe pour en apprécier la douceur et la moiteur.
 
Quand elle se redressa, je sus que mon sexe allait changer d’interlocuteur. D’embrassé il se retrouva gobé à son tour par une bouche experte. Je m’emparais de sa nuque et de ses cheveux au cas bien improbable où j’aurai dû la guider. Sa main avait remplacé sa bouche autour de mes couilles et elle allait et venait en un lent mouvement dans lequel j’avais l’impression d’être aspiré encore plus à chaque va et vient de ses lèvres et de sa langue. Elle avait en particulier parfaitement identifié le point le plus sensible chez moi qui se situe juste sous le gland à la jonction du frein. Peut être seules deux filles m’avaient à ce jour sucé aussi bien. Je sentais mon plaisir monter par vagues et Isabelle également car elle relâcha un peu la pression tout en continuant à me sucer doucement. Elle avait le désir de me faire durer…
 
Craignant malgré tout de ne pas résister à ses caresses, je relevais son visage. Elle planta son regard pailleté de vert et d’or dans le mien et, un peu haletante elle me souffla :
 
-         Je ne te laisserai pas jouir dans ma bouche, c’est ma seule limite
-         Il faut bien quelques règles, tout de même, lui répondis-je m’abstenant sans malice de lui demander quelles étaient les autres règles.
 
Isabelle n’était pas bien lourde entre mes bras et je la retournais sans mal pour la mettre sur le dos. Ce fut alors mon tour de me placer entre ses jambes et de sucer son sexe. Au risque de me répéter elle avait un sexe de jeune fille, peu ouvert, aux lèvres fines et de couleur rose tendre. Son clitoris était de la taille d’une perle et bien protégé dans son petit cocon de chair. Je le titillais d’abord légèrement puis de façon un peu plus appuyée déclenchant à mon tour chez ma partenaire les réactions qu’elle avait suscitées chez moi. J’alternais les moments forts et faibles mais j’avais le sentiment que même si elle appréciait mes caresses ce n’était pas ce qu’elle préférait.
 
Je la voulais cependant ruisselante et ne consentis à l’abandonner qu’une fois que son sexe eut été bien trempé.
 
Comme je relevais mon visage elle s’empara de ma tête et cette fois elle prit l’initiative du baiser. Il fut plus sexuel que le précédent nos deux bouches mêlant ainsi le goût de nos deux sexes. Nous avons roulé sur le lit et elle s’est à nouveau trouvée au-dessus de moi.
 
Pendant que nous nous embrassions Isabelle avait attrapé la boite de préservatifs qu’elle avait placée aux cotés du lit.
 
Je la sentais un peu fébrile, ne parvenant pas à trouver l’ouverture de l’emballage d’aluminium. Je pris donc les choses en main. Elle se recula un peu pour me permettre d’enfiler le préservatif. Lorsque ce fut fait, je l’empoignai par les hanches, la plaçai au-dessus de mon sexe dressé et d’une seule poussée la pénétrai jusqu’au fond lui arrachant un sursaut de surprise quand je cognai le fond de son intimité. A demi-dressé sur les coudes je menais la cadence tout en mordillant ses tétons. Mais comme la position étant assez fatigante, je l’abandonnais bien vite pour plaquer Isabelle contre moi, poitrine contre poitrine, me permettant ainsi de jouer avec ses fesses de mes deux mains libérées.
 
J’allais et venais lentement, non pas par crainte de l’éjaculation, j’étais trop tendu pour jouir vite je le savais, mais comme pour l’explorer à fond. Même si elle était placée au-dessus de moi c’était moi qui menais les débats en essayant le repousser chaque fois un peu plus les limites de la pénétration. La forme et la dimension de son sexe me faisaient de plus en plus penser à celui d’une adolescente qu’à celui d’une femme de trente ans. Il me contenait tout juste dans cette position et son étroitesse était un délice.
 

Au bout de quelques minutes je me détachai d’elle et glissai sous son ventre embrassant au passage son nombril et son sexe où se mélangeaient les odeurs de sexe et de latex. Je passai derrière elle et, ainsi en levrette, elle m’offrait une vue superbe sur ses fesses. Elle était totalement impudique et offerte. Isabelle avait la tête posée sur ses bras croisés, légèrement tournée vers moi, les yeux mi-clos.

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26 mai 2006 5 26 /05 /mai /2006 10:33
Je plaçai mon sexe contre le sien, m’enfonçai lentement en elle tout en caressant de mes doigts son petit clitoris. Elle ondulait doucement des hanches et des fesses et nous nous sommes sans mal synchronisés. Je sentais le désir monter doucement en moi et mon gland grossir au fur et à mesure. Bientôt il bloquerai un peu à l’entrée du vagin ce qui me procurerai une délicieuse sensation. J’abandonnais son clitoris pour me reporter sur ses fesses que j’empoignai à pleines mains, les pétrissant, donnant quelques petites claques dessus à chaque poussée. Elle me jetait de temps en temps un coup d’œil qu’elle accompagnait d’un sourire. Je devenais plus insidieux à chacune de mes caresses et très vite mes doigts vinrent fureter du côté de son anus totalement épilé que je j’agaçais d’un doigt légèrement humide.
 
Mes tremblements avaient cessé depuis longtemps et je me sentais maintenant parfaitement à l’aise. Je m’arrêtai un instant alors que mon sexe était quasiment sorti pour jouir du spectacle et de la sensation que j’aurai à pénétrer lentement dans cet antre chaud et étroit. Isabelle ouvrit les yeux, tourna un peu plus son visage vers moi et me dit :
-         Prends-moi par derrière, tu sais que j’aime ça
 
Je savais en effet que Isabelle était réputée sur certains forums de discussion consacrés aux escort-girls comme pratiquant assidûment la sodomie. Qu’elle la subisse était une chose, qu’elle la réclame en était une autre alors que nombre de mes conquêtes me jugeaient un peu trop volumineux pour ce genre de plaisir et n’y consentaient qu’après une longue préparation et jamais dans cette position dans laquelle je pouvais aller et venir à ma guise ne leur laissant que peu d’emprise sur la situation.
 
-         Tu es sure ?
-         Oui, ne t’en fais pas, répondit-elle ayant sûrement deviné le sens de mon interrogation, je préfère que ce soit l’homme qui domine.
 
Je ne me fis pas prier et sans faire plus de manières ni préparation je posais mon gland sur sa porte étroite. Isabelle changea alors légèrement de position pour placer son visage dans les coussins qui étaient devant elle, creuser le dos et relever un peu les fesses. Je poussai doucement mais fermement pour la faire céder l’anneau de chair. Elle eut un petit cri quand la partie la plus large du gland força le passage. J’arrêtai instantanément pour lui permettre de s’habituer à ma taille. Je sentis les muscles se contracter puis se relâcher m’incitant ainsi à continuer ma pénétration. Je repris donc mes lents va et viens qu’elle accompagnait de petits mouvements du bassin. Elle se masturbait en même temps et le spectacle de sa main jouant sur son clitoris dans le même temps m’excitait au plus haut point.
 
Voir une femme se caresser a toujours été pour moi une source infinie de plaisir et au bout de quelques minutes, l’action combinée de cet étroit fourreau et de la vue sur cette main s’agitant sur son sexe me firent jouir dans un long râle. Je fermai les yeux pour profiter le plus longtemps possible de cette sensation pendant que je sentais la main de Isabelle s’agiter plus rapidement sur son clitoris. Je l’entendis pousser un cri bref pendant que les répliques de ma jouissance m’arrachaient des sursauts brefs mais violents qui envoyaient cogner mon sexe au fond du cul de Isabelle.
 
Lorsque je fus calmé, je me retirai doucement, me laissai aller sur le dos et me débarrassai de mon partenaire de latex. Isabelle s’était tournée sur le côté et me caressai doucement le ventre et mon sexe encore bien dur. Je n’ai pas osé lui parler de son plaisir mais même s’il n’a pas été aussi intense que le mien je pense qu’elle en a pris sa part.
 
Nous avons fait une pause pour nous désaltérer et reprendre nos forces. Je trouvais tout à coup l’appartement surchauffé alors qu’au début de la soirée il me paraissait glacial.
 
Isabelle avait renfilé ses chaussures et la voir évoluer chez moi uniquement vêtue de ses escarpins et des ses bas était un spectacle que je ne suis pas près d’oublier.
 
Pendant que nous buvions un verre elle me montra ce qu’elle avait apporté dans son deuxième sac : une très étrange robe chinoise en vinyle rouge rescapée des achats qu’elle avait effectués aux Etats Unis avant le 11 septembre. Elle connaissait mes goûts pour les vêtements originaux et fétichistes et m’avait apporté cette robe à titre d’exemple.
 
J’ai eu à nouveau envie d’elle. Nous avons refait l’amour de façon plus classique, plus violemment aussi. Isabelle était couchée sur le dos, les fesses surélevées, posées sur des coussins. J’étais debout à côté du lit, j’avais collé ses jambes contre ma poitrine, ses chevilles sur mes épaules et je l’avais pilonnée assez intensément pour permettre à mon plaisir de venir vite.
 
Ma jouissance a malgré tout un peu tardé. Je ne me suis pas du tout préoccupé de Isabelle à ce moment là, elle s’accrochait comme elle pouvait, me laissant aller à me guise. Mon plaisir n’a pas eu la même saveur que lors de la première fois même si cette position est l’une de mes préférées quand je veux aller au fond d’un sexe qui m’est offert.
 
Pendant que Isabelle réquisitionnait la salle de bain je regardais l’heure. Il était près de deux heures du matin. Je commençais à penser à la somme qu’elle allait me demander car le moment que nous avions passé ensemble était bien loin du simple massage que nous avions évoqué.
 
J’avais vidé le distributeur de mon agence bancaire en attendant Isabelle mais je ne savais pas si cela était suffisant. Je commençais même à avoir de sérieux doutes quand elle vint me rejoindre sur le canapé.
 
-         Combien est-ce que je te dois ?
-         Alors, me dit-elle en m’adressant un petit sourire en coin, disons un massage et puis une heure supplémentaire. Ce qui fait …
 
Elle m’annonça une somme qui, malgré l’importance du montant, était inférieure à ce que j’avais retiré en début de soirée. Intérieurement je poussais un soupir de soulagement même si je donnais un violent coup de griffe dans ma caisse noire. Je réfléchissais pendant que je comptais l’argent que j’allais remettre à Isabelle : si elle avait voulu appliquer ses tarifs à la lettre elle m’aurait facturé près du double…
 
Avant que je la raccompagne à la station de taxi la plus proche en lui promettant de la rappeler bientôt, Isabelle empocha une enveloppe copieusement garnie – mon distributeur ne m’ayant délivré que des petites coupures – et me laissa la robe de vinyle rouge comme cadeau.
 
 
**
*
 
Nous nous sommes revus à plusieurs reprises mais plus pour faire l’amour. Je lui apportais mes quelques compétences en informatique et elle me servait de modèle pour des photos un peu coquines qui lui ont servi pour son site Internet. Echange de bons procédés.
 
Isabelle a depuis posé pour Christophe Mourthé et continue à ce jour sa carrière de Call Girl de luxe. Jusqu’à quand nul ne le sait. Mais je l’aurais connue des deux côtés du miroir et je ne sais quelle facette de son personnage m’est la plus chère. L'Isabelle du jour ou celle de la nuit ?
 
Elle m’a dit récemment avoir modifié sa méthode de massage, ce sera peut être l’occasion de renouer des relations disons plus, professionnelles…
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22 mai 2006 1 22 /05 /mai /2006 14:14

La suite de mes aventures avec Floyd et Tony...

A lire et commenter

Au plaisir

Orso

 

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